Chronologie
► 474 Naissance de Byrhon, cadet de la famille Gill'losa. Si son frère Kaewell est né avec la pire tare que peuvent rencontrer les nagais, son frère héritera du même gêne et la pâleur excessive qie celui-ci qui le condamnera à la solitude hors de la présence réconfortante de son ainée
► 480 – 492 L'albinisme n'est pas la seule chose que les frères ont en commun, outre un attachement qui devient plus fort au fil du temps, tous deux seront détenteurs de la force et c'est sans doute ce qui les sauvera d'un crash qui a été fatal à tous ceux qui les accompagnaient. La terrible solitude dans laquelle les frères Gill'losa étaient enfermés depuis longtemps prendra fin quand les jensaarai, attiré par la force, les tireront hors des décombres pour en faire l'un des leur. S'ensuivront de longues années d'entrainement mais Byrhon, ivre de la puissance qu'il détient, cherchera à aller toujours plus loin, repoussant ses limites et celles que l'on cherche à lui imposer. De ce fait, sa neutralité s'en retrouve durement touchée quand il commence à s'enfoncer dans le côté obscur qu'il justifie comme un besoin pour protéger son groupuscule qu'il considère comme sa famille. Si son frère trouve plus plaisant la compagnie d'une apprentie, Byrhon s'y refusera mais trouvera rapidement l'amour dans les bras d'une soeur d'armes humaine du nom de Carmine.
► 502 Malgré son côté revanchard qui se fait de plus en plus prononcé, Byrhon épousera Carmine. Elle tente difficilement de l'écarter du chemin obscur qu'il emprunte et de lui faire renoncer à sa soif de puissance mais n'y parviendra jamais.
► 503 – 506 Kaedwell sera la première victime de la nébuleuse noire quand dans l'affrontement, il perdit l'apprentie qu'il considérait comme sa propre enfant. Leur lien trop étroit pousse Byrhon dans ses retranchements qui se met en tête de vouloir venger son frère. Fou de rage, il se jette tête baissée dans un combat alors que Carmine tente de le raisonner. Dans un éclat de rage, il finira par frapper accidentellement Carmine et la tuera sur le coup, elle ainsi que l'enfant qu'elle portait. Envahi par le désespoir, il abandonne son besoin de vengeance, conscient que son seul ennemi a toujours été lui-même.
► 506 - 510 Suite à leur perte, les deux frères abandonnent les jensaarai et trouvent refuge sur Nar Shaddaa. Là il cherche un moyen de s'imposer mais surtout d'oublier son passé avec Carmine. Usant de sa force redoutable et de son instinct de prédateur, c'est sans scrupules que Byrhon mettra la main sur un proxénète de petite facture avant de lui ôter la vie et de s'approprier son domaine. À son tour il prend les commande et investira tout son argent pour ouvrir son propre réseau de prostitution. C'est en 510, après de longues années à batailler dans son nouveau domaine d'expertise que Byrhon ouvrira l'une des plus grandes et luxueuse maison close de Nar Sharddaa qu'il nommera l'écrin d'ivoire. Il sera l'instigateur d'un nouveau mouvement d’escorte réservé aux plus riches. Ses employés, hommes comme femmes seront divisés en deux catégories, d'une part ceux nommés les sirènes de l'écrin visant l'art sexuel dans son plein potentiel tendit que dans l'ombre agiront les perles de l'écrin, artistes maitrisant la danse, le chant et aux arts variés dans le simple but de tenir compagnie (sans actes sexuels) à leur client à travers toute la lune de Nar Shaddaa. Cela participera grandement à faire avancer sa renommée à ses chiffres d'affaires toujours plus élevés attireront les faveurs du Mogul suprême pour qui il agira sans la moindre fausse note.
► 512 Malgré la vigilance constante en ce qui concerne ses prostituées, l'une d'entre elles viendra à mettre au monde un enfant. Un petit métisse Zabrak issu des entrailles d'un certain Eryndal Fahde'vysh. La mère morte en couche due à un accouchement difficile, Byrhon n'a pas le coeur à se débarrasser de l'enfant. le souvenir de son bébé mort avec Carmine le hante toujours et la simple vu de cet enfant le bouleverse. Avec l'accord de Kaewell, ils garderont l'enfant qu'ils nommeront Keenan et élèveront comme leur propre fils, trouvant à travers lui un réconfort nouveau.